Gestes oubliés

Commentaires

7 réponses à “Gestes oubliés”

1. 

   décembre 26, 2006

   jambon

   « Maintenant, cela se fait aussi grâce à de puissants engins »
   Pour avoir travaillé temporairement à la DDE, ces engins, dont tu fais allusion, sont dénommés  » épareuses » par le personnel fonctionnaire de ce service public.
   Cdt
   J

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2. 

   décembre 26, 2006

   tildou

   « on nous fait voir aux actualités des agriculteurs, des maisons de retraites qui se chauffent avec le bois des haies. C’est un vieux geste oublié, jusqu’au années 1970, il etait courant de voir des personnes tailler les arbres le long des routes… »
   Si je peux me permettre, cela fait plus de vingt ans que les agriculteurs ont supprimé la majorité des haies, afin de pouvoir agrandir leurs champs. Maintenant qu’on s’est rendu compte de la bêtise que c’était, on les replante… Il ne s’agit donc pas vraiment d’un geste oublié, comme vous le dites, mais d’un geste qui a perdu toute possibilité d’être exécuté en raison de la disparition de la ressource.
   En ce qui concerne le ramassage du bois le long des routes, d’une part il y a bien plus de circulation que dans les années 70 et j’imagine mal les gens aller couper leur bois le long d’une nationale aujourd’hui (bonjour la sécurité). D’autre part, imaginez un instant le résultat si tout le monde vient de servir… et le risque d’accident si une branche tombe sur la route… C’est bien le travail des personnes qui patrouillent afin d’assurer la sécurité des routes que d’enlever les branches tombées (et les chats et les lapins écrasés…). L’épareuse est probablement ce qui convient pour la taille des arbres parce que le travail est propre et que les arbres restent en vie jusqu’à preuve du contraire…
   Enfin, en ce qui concerne l’interdiction de ramasser le bois tombé chez les gens, cela me paraît bien naturel. Après tout, qui vous dit qu’ils ne se chauffent pas eux-mêmes au bois?

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3. 

   décembre 27, 2006

   patrick

   Beaucoup de parcelles, celles qui posent problèmes sont à l’abandon pur et simple. le droit d’usage remontait à la révolution (bois tombé seul) et dans un certain nombre de region, il existe encore des haies, meme, si l’ont est bien d’accord les agriculteurs qui les ont detruites se sont paerçus de leur betise…

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4. 

   décembre 27, 2006

   patrick

   merci jambon pour cette precision

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5. 

   janvier 8, 2007

   Michaël

   « Aussi la ressource devient nuisance (quand elle devient 50 cm de biomasse sur le sol de la forêt) »
   Ceci est une erreur de votre part.
   Au contraire, l’ONF préconise dans de nombreuses régions de laisser les branches pourrirent sur place lors des affouages afin, justement, de régénérer l’humus des forêts. Des interdictions de brûler se mettent de plus en plus en place.
   Signé : un bûcheron mécontent de cette désinformation.

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6. 

   janvier 8, 2007

   patrick

   laisser la biomasse au sol, cela permet aussi les incendies, et aux marais de se reconstituer. Que ce soit interdit de bruler est plutot salutaire. Une foret non entretenue n’est plus penetrable, un dedale comme les forets russes.

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7. 

   juillet 2, 2007

   Anonyme

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