je cite un internaute (qui me répondait) :
« le surgénérateur est une technologie dans les limbes encore. Superphénix était un nanard éternellement en panne »
N’importe quoi! renseignez vous un peu… »
oui, enfin, si une panne qui a duré 3 ans et demi, et ce n’était pas la seule, ce n’est rien…
En matiére industrielle, et d’industrie lourde, l’unité de compte entre la conception, la mise au point, et l’exploitation industrielle, c’est plutôt de l’ordre du siécle…
Effectivement comme on peut le constater le schéma de fonctionnement est simple, guère plus compliqué qu’une chaudière classique. là, où le bât a blessé, c’est qu’on ne disposait d’aucun système de simulation fiable, pour cause d’absence de données sur la résistance des matériaux.
Le seul point positif de superphénix est la somme des erreurs commises, qui instruit considérablement.
N’en déplaisent à certains, la seule et unique solution est un mix d’économie d’énergie et de renouvelable, complété par un recours le plus modéré possible aux énergies fossiles (j’y compte aussi le nucléaire). Ce qui est loin d’être la position d’un anti nucléaire (ceux-ci ne veulent pas de nucléaire du tout).
On a dit beaucoup de bêtise sur le nucléaire. Notamment des projets au niveau mondial de 4000 réacteurs, déjà que pour 450 on a des doutes sur l’approvisionnement.
Quand on voit une exploitation minière, je doute fort que le rapport énergétique pour le nucléaire soit si favorable. L’exploitation des mines d’uranium pose des problèmes, car cette exploitation est exigeante, et plus proche de celle des sables bitumineux du Canada que celle de puits de pétrole jaillissants…
Même si je persiste à croire qu’une certaine dose de nucleaire est nécessaire…

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