Biocarburants : les alternatives II

DerrickLes Ford des années 1900-1920 pouvaient rouler à l’éthanol, jusqu’à ce qu’on trouve une alternative : le pétrole. La tradition sudiste et confédérée allait aussi à l‘alambic.
On a trouvé des algues, on a trouvé aussi … des terres ruinées.
Une source potentielle trés prometteuse aux USA réside dans les « cultures » de type prairies (lire : terres à l’abandon), sols très peu fertiles ou dégradés, mais qui ne nécessite pas d’engrais et de traitements chimiques.
Par contre, plus la biodiversité est affirmée, meilleur est le rendement. On utilise des herbes perennes irriguées  au début de l’experience. La biommasse produite est 258 % superieure à celle des cultures quelque soit l’espéce.  

Le rêve de l’agriculteur : produire de la valeur ajoutée, avec des terres ruinées, sans semer et sans s’en occuper. Que la récolte. Là, les USA sont très bien placés : ils n’ont jamais réussi à mettre la totalité de leur territoire en culture, cette fois est peut être la bonne.
Par contre d’autre, les chinois pour ne pas les citer en reviennent toujours au bambou : y compris pour faire du bio carburants. là aussi que des qualités : une fois planté et bien installé, que la récolte à faire.
En France, il serait aussi possible de faire du biocarburant avec la biomasse non exploitée de la forêt. Dans ce cas là, comme il s’agit d’un simple exercice de volonté politique, on n’est pas sorti de l’auberge…

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