La monnaie fut changée en 1945. P.mendés France voulut lui donner une réduction drastique, de l’ordre de 90 %.
On ne l’écoutât pas, et on changeât à la valeur faciale. Pas tout visiblement, parceque ces billets ne valent pas grand chose chez les collectionneurs : il y en a trop. Si Jacques Calvi avait l’air de trouver que ça faisait beaucoup un milliard, à l’époque, en sachant ce qui n’était pas revenu, il en serait mort sur place…
Les billets de la libération était eux, petits, petits, petits…
Mais là est une clef de la réussite de l’après guerre : il y avait des gens qui dépensaient de l’argent, investissaient, mais thésauriser… Là, ils avaient été
vacciné…Même la mort des fonds de pensions fût votée dans l’enthousiasme (les « bénéficiaires » purent s’en payer une sucette, et pas au sens figuré). Investir*, pris un synonyme : acheter dans un bien réel, palpable.
Alors aujourd’hui, comment préparer ses vieux jours ? Un fond de pension ? Méfiance, d’ailleurs aux Usa, ils font faillites (ou plutôt ont fait faillite 13 à la douzaine). Le bien palpable est revenu à la mode, dévoyé d’ailleurs sous forme de bulle immobilière. C’était un essai, mais mal orienté.
Vous voulez compléter votre retraite, qu’on vous amaigri, non par nécessité, mais par idéologie ? Alors si vous posséder un pavillon, récupérez vos eaux de pluies, installez un panneau solaire, et une éolienne, et à l’égale de Voltaire, cultivez votre jardin… ça ne vous fera pas vivre, mais ça sera toujours ça d’économisé…
* Dans la vulgate actuelle, quand on parle d’investir, on parle d’investir en bourse, ou en immobilier. Le sens premier de l’investissement (en terme physique de capacité de production, ou d’amélioration de capacité de production est complétement gommé).

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