Qu’est ce qu’il y a de commun entre fessenheim, Gm, edf, airbus, qui défraie la chronique en ce moment ?
Toutes ces firmes, ce lieu évoquent des firmes qui travaillent dans le transport et l’énergie, voire edf, dans le transport de l’énergie…
Toutes ces firmes, mais je vous rassure tout de suite, la liste n’est pas exhaustive, travaillent, ou dans le transport, ou dans l’energie, et quelque fois dans le transport de l’énergie.
Mais ces firmes ont un autre point commun.
Celui d’avoir été des spécialistes de leur secteur, qui lentement se transforment en sociétés financières, ni plus, ni moins, avec une compétence technique basse.
– Gm ne faisaient plus pendant des années du bénéfice qu’avec les prêts attachés à la vente d’automobiles, la compétence technique est passée aux sous-traitants, Gm est simple assembleur,
– Même problème en beaucoup plus rapide pour Airbus,
– On voit qu‘Edf sous investit massivement dans ses barrages, et ce qui est plus grave, dans ses centrales nucléaires. Fessenheim est visiblement vétuste. Cela n’empêche pas, prévue pour 20 ans, elle en a pris pour trente, en attendant 40. Sous investissement chronique aussi…
Et puis, crise d’Airbus aidant, car Airbus, a été pendant trente ans aussi, mythique : il fallait être libre échangiste, car Airbus compensait tout le reste…Et puis Airbus a toussé…
Alors une candidate s’est réveillée :
« la candidate socialiste à l’election présidentielle, Ségolène royale, a assuré mardi avoir trouvé des convergences avec la chancelière allemande Angela Merkel sur les politiques industrielles ».
Tien, la raison revient, on avait oublié que l’industrie, ce n’est jamais fini, et que c’est un flux constant d’investissements.

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