On dit que le recyclage du verre est indispensable, diminue la consommation d’énergie, et le relachage de Co2 et ce, l’industrie du verre l’a envisagé dès 1976…
Nous avons dans ce cas là, un bel exemple de manipulation, au profit de la grande distribution et de l’industrie du verre.
En effet, jusqu’en 1976 (ou dans ces eaux là, je parle de mémoire) le verre était CONSIGNE, on payait une consigne à l’achat, et elle était remboursé quand la bouteille était rapportée… Aprés, la dite bouteille était réemployée par la société créatrice, lavée, reremplie et reprenait le circuit, jusqu’à sa casse finale. La bouteille était donc employée et réemployée, jusqu’à plus soif.
La fin de la consignation a donc conduit à la situation suivante :
– la grande distribution fait les économies de traitement des retours,
– l’industrie du verre peut produire encore tant et plus : pib fictif, en se justifiant par le « recyclage« .
– le coût du verre est transféré sur le ménage et par l’industrie du verre et par la grande distribution, par l’intermédiaire des taxes sur les ordures ménagéres.
Tout baigne pour les deux. Moins pour le con-tribuables, cochon de payeur…
Il ne faut pas qu’une grande gabegie passe pour un progrés. Personne n’a compris au milieu des années 1970, la fin des bouteilles consignées. Ou plutôt, tout le monde l’a compris. Ce systéme avantage les groupes et les industriels, au dépend du consommateur.
Que resterait il des verriers dans le cas contraire ?

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