La firme CORUS, veut transformer les toits d’acier en capteurs solaires. Elle en étudie la possibilité avec les universités de Bath, Bangro et Swansea. En effet deux options existent pour le solaire, produire beaucoup avec des petites surfaces (voie qui permet avec des prototypes d’avoir des taux de récupération de 40%), soit se contenter de rendement bien moindre (de l’ordre de 5 %)et de compenser ces rendements par un coût au M2 bon marché, en utilisant de vastes zones de récupération, comme les toits d’usines. En effet, depuis la fin de l’amiante ciment, au moins dans les pays de l’Ocde, le matériel privilégié dans la construction industrielle, c’est l’acier. Le fibro-ciment, tel qu’il a été essayé (sans amiante) se révèle de
basse qualité (il devient trés vite poreux), et capter l’énergie avec des toits d’acier permettrait une utilisation rationnelle de ces espaces. Seraient utilisées les DSSC (dye-sensitised semi-conductor), sous forme de revétement sérigraphié, ou en spray.
Production espérée : dans 5 ans.

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