Le crédit d’impôt de 25 %, plafonné à 8 000 euros concernant les équipements de récupération d’eaux pluviales devra être cantonné aux usages externes.
Le gouvernement vient donc d’accorder satisfaction aux grandes entreprises gestionnaire de l’eau.
En effet, celle-ci ont un bénéfice et un chiffre d’affaire assuré et sanctuarisé.
Pour les usages internes, on verra, plus tard, sans doute bien plus tard. Bien plus tard. Le plus tard possible.
Mais nos hommes politiques qui se gargarisent « d’économie », semblent ignorer une rêgle plus qu’élémentaire : plus l’eau est chêre, plus le système est rentable.
On voit donc tout de suite que cette décision a été pondu par un énarque complétement ignare, qui ne sait rien faire de ses dix doigts. En effet, une fois crée la récupération, on peut tout a fait faire modifier (sans demander le crédit d’impôt), ou le faire soi-même. Ou demander au plombier deux factures, une éligible à 8000 euros, une complémentaire à 100 euros…
En bref, un appel au travail au noir, à la combine et à la débrouille. Comme si le bâtiment n’était habitué à « s’arranger », à travailler au noir !
Belle manoeuvre !

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