Rapport du ministére de l’industrie II

Ministre_de_lenvironnementEn réalité le rapport du ministére de l’environnement pêche par un certain nombre de faiblesses.
Tout d’abord, le nombre d’éoliennes (45 000) est présenté comme important, l’hydraulique comme saturé.
Or, le premier janvier 1800, la France possédait pas loin de 200 000 moulins à vent, eaux, marées. Les 1700 centrales au fil de l’eau, une bien maigre partie de ce qui existait. Je conseille donc à nos hommes politiques, députés, ministres, sénateurs, un plaisir simple. Celui de la promenade. Ils verront le long des rivières, au sommet des collines, ce qui existait, ce qui ne choquait pas les contemporains, et ce qui ne choquera personne en 2050.
D’une autre manière, la consommation d’électricité est grevé par le chauffage électrique à effet-joule. Remplacé par des thermodynamiques, y compris les pompes à chaleurs aérothermes, l’économie serait conséquente.

Le nucléaire, l’Epr deviennent de ce fait, inutiles, pire, nuisibles, car syphonnant des crédits.
2025 : en produisant par le renouvelable et réduisant la consommation inutile, le nucléaire pourrait être déclassé en totalité. De plus, la consommation des centrales, et notamment du recyclage est loin d’être anodine (4 tranches).
De plus le rapport part sur une continuation de la tendance : on prend la courbe antérieure, et on prolonge…Il faut voir le monde tel qu’il est : des pays sont passés au post-pétrole et post-énergie, même.
C’est l’effondrement de l’espérance de vie (donc une baisse de la population en germe) des guerres d’extermination autour des ressources géologiques.
L’alternative est un futur sauvage à la madmax ou une société ordonnée. les deux sont possibles.

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