Pour paraphraser le regretté Raymond Devos, on ne devrait pas appeler la monnaie actuelle, la « monnaie fiduciaire », c’est à dire reposant sur une seule chose : la foi. En effet, B. Bonner et A Wiggin, ont essayé de dénombrer celles ayant existées. Ils se se arrêté à la lettre B et au chiffre 800. On ferait donc mieux de parler de « monnaie du cocu », puisque l’on sait où elle arrivera : nulle part.
Quand j’entends le débat des présidentielles : question centrale la dette ? Oui, quitte à faire faillite, personnellement je préfére qu’elle ait lieu en 1788 qu’en 1794.
Surtout que des dépenses pharaonesques et phénoménales se profilent à l’horizon. Jugez en : Selon le GIEC réuni à Bangkok, pour limiter à 2 degrés le réchauffement climatique, il faudra investir… 0.12 % du pib mondial, (est ce que ça veut dire que si on fait 1 %, on va geler les … ?) Solution : éoliennes, photovoltaïque et nucléaire (ça c’est pour faire plaisir au lobby), et piégeage du carbone au sortir des centrales. Toutes ces solutions, bien sûr, existent et se développent…
A cela, on peut rajouter les faits suivants :
– déplétion pétrolière en cours,
– déplétion gaziére prochaine,
– déplétion uranium vieille de 20 ans,
– déplétion charbonniére pour les charbons de qualité (on augmente la quantité, mais l’anthracite, elle décline fortement et souvent depuis longtemps -1920 pour les Usa).
Ce qui correspond, à l’origine à la position des physiciens russes dans Novosti : pas de réels problèmes climatiques. Le changement climatique en 2100 se limitera à 1° de plus. La prise de position de certains est politique plus qu’écologique.

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