Nouveau « paquet » européen, en « énergie et changement climatique. Selon l’AIE (agence internationale de l’énergie), le renouvelable assure 13.1 % de la fourniture totale d’énergie et 17.9 % de la production d’électricité. Ce chiffre devrait passer à 25 % en 2030 et 50 % en 2050.
Mais bon, il est difficile de savoir sur quelle hypothése, ces proportions s’abritent ? Un doublement de la consommation ? soit 18 milliards de TEP ? Cela voudrait dire l’importance de la production alors… 9 milliards de tonnes
équivalent pétrole en 2050 ?
Quels sont les axes de réflexion ? Tout d’abord, l’UE n’atteindra pas ses objectifs, et les progrés sont trés faibles dans le secteur où la consommation peut être effondrée : le bâtiment. Cela veut dire que les changements, en l’espéce sont trés dépendants d’une politique gouvernementale : DTU, crédits d’impôts et politique monétaire. Prosaïquement, ça coûte bonbon.
En ce qui concerne les objectifs européens, c’est encore le flou : objectifs obligatoires ou flexibilité ?
D’une manière générale, le « géant endormi » n’a pas encore été évoqué : c’est le bâtiment. Et le sujet est explosif. Tout d’abord, notamment en France, le chauffage électrique par effet-joule, d’une manière générale le chauffage par énergie fossile (subventionné en France pour les chaudières à condensations), l’aberration de l’air conditionné. Pourtant, l’inflexion pourrait être TRES rapide…

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