L’agonie du libéralisme.

MendelsonLes hommes politiques européens ont sacralisés le libéralisme, comme les chiens leurs puces, ou leur vomi.
Aujourd’hui, ils apparaissent décalé, vieilli et radotant une histoire qu’ils sont les seuls à croire.
Il y a quelques années, tout allait bien.
On sous payait des ressources énergétiques et minières, et les « zélites » se pressaient de basculer leurs fonds dans des banques occidentales de Miami, Zurich, Bruxelles, Paris ou autres. Tout baignait.
Les pays du tiers monde ont depuis repris contrôle de leurs sources d’énergie, laissant aux compagnies occidentales la portion congrue.
Des politiques « populistes » se sont mises en place.
Les pays occidentaux plaidaient pour l’ouverture, en gros pour coloniser sans en avoir les inconvénients.

Aujourd’hui les choses ont changées. Sarkozy, Merkel ne voient plus le libéralisme comme un idéal sacralisé, même s’ils ne l’ont pas encore rejeté complètement, ils sont au début d’un processus politique, intellectuel et mental qui a fait, par exemple passer un Chavez du stade de Réformateur se réclamant de T. Blair, à celui du double de F. Castro.
Et puis, les pays dominés, ont désormais les moyens financiers de renverser le système comme on l’a vu avec l’affaire Arcelor/ Mittal. Les excédents commerciaux du soit à l’ excédent industriel, soit à la flambée des matières premières, donnent aux dominés des armes.
On voit aussi très clairement que les investissements en Chine notamment sont appelés à se volatiliser. Plusieurs affaires montrent les « zinvestisseurs » occidentaux (lire : bande de couillons) se faire plumer  par leur partenaire local (lire : robin-des-bois-qui-reprend-aux-vilains, enfin c’est présenté comme cela).

Le problème est de comprendre quel est ce processus ?

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