Et un pas en avant,
et un pas en arrière,
et j’augmente de un,
et je descends de 6…
C’est vraiment farfelu cet été les stocks de pétrole US.
A croire que ça ne relève plus que de la simple manipulation boursière.
On augmente un peu quand on croit que ça va descendre, et ça descend plus quand on croit que ça se stabilise.
Et là, excusez du peu : – 6.5 millions de barils à 344,5 millions.
Et encore, il n’y a là rien de confortable. On se dit 344.5 c’est beaucoup. C’est vrai mais c’est très peu.
Combien sont de « faux » stocks, indispensables dans les tuyauteries pour faire tourner le système ?
100, 200 ou 300 ? Dans ce cas, le stock disponible est ridiculement bas.
Le « light sweet crude » a donc atteint son « maximum historique » à 78, 77 $ le baril. Soit un gain de 12 $ en deux mois. Si cela n’indique pas le pic oil, alors qu’indique t’il ?
On espérait, pour sauver la situation une utilisation des capacités de raffineries US à 95 %, sachant pertinemment que toute utilisation supérieure à 90 % est une prouesse. Et un coup de chance fabuleux.
Lien de cause à effet, les ventes de la GM se sont effondrées en juillet de 18.5 %, passant de 410 000 à 320 000…

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