En ces temps de fin de règne, ces derniers jours flottent un parfum de 1929.
Le pétrole brut « light sweet crude » a perdu 3.42 $ dans la journée clôturant à 72,06 $ le baril et le « Brent » de la mer du Nord s’est adjugé à 71.17 $ en perdant 3.58.
La situation peut s’analyser ainsi : géologiquement aucune nouvelle ne justifie cette débâcle, la situation productive reste tendue. Par contre ce qui pourrait changer la donne d’une manière fondamentale, c’est la consommation.
Une récession, ou pire, une très grande récession marqué par
un effondrement de la consommation est à craindre.
La crise immobilière des subprimes (salauds de pauvres) débuté aux USA se propage aux banques allemandes (2 à ce jour), à la finance en général, et dans ce monde, où tout le monde est endetté vis à vis de tout le monde, les défaillances vont se faire en cascade.
En effet les titres de créances (CDO), sont à peu prés logé partout.
Affaire a suivre, donc, chaque jour…

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