Si le monde a pu atteindre 6 et quelques milliards d’hommes, c’est grâce à Pasteur et au pétrole.
Pasteur a soigné les maladies, et le pétrole a permis de nourrir les populations.
Même si la population augmente moins que prévu, et qu’on atteindra pas les maximums envisagés, la question de savoir combien nous serons en 2050, se pose.
L’épuisement du fossile posera des problèmes d’approvisionnements.
Et de nouvelles maladies émergent, à la cadence d’une par an.
2 milliards d’individus prennent l’avion chaque année, certainement beaucoup moins en 2030 ou même 2020, mais en attendant, ces grands brassages de populations propagent les maladies, pourtant on nous présente comme systématiquement positifs ces brassages.
Une population plus nombreuse, qui se déplace plus, parfois de manière forcée, sous l’effet des guerres et des famines, un sida qui se propage d’autant plus vite que les viols sont systématiques dans les zones de conflits.
Sont aussi responsable les docteurs folamour, comme on l’a vu pour la vache folle, doublés par les politiciens qui couvrent leur folie, au nom de « l’économie ». Je me souviens d’un ministre, croyant sans doute, réinventant « le rêgne humain » et tonitruant que la maladie « n’était pas transmissible à l’homme », posture d’un homme qui s’appuiera désormais derrière un « je ne savais pas » malvenu.
Plus récemment, dans le cas du SRAS, on a vu les hommes politiques plus préoccupés des dégâts économiques aux compagnies aériennes que des conséquences possibles.
Le XIV° siècle nous a appris que la malnutrition prépare le chemin des épidémies, et que la grande faucheuse n’a plus qu’à passer. Pasteur nous a dit, il y a bientôt 150 ans que nous aurions d’autres épidémies. Mais rassurez vous, en France on est prêt. On a recensé récemment les places dans les cimetières.

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