Là, avec le dernier rebondissement de l’affaire gdf-suez, on arrive carrément au dernier degré du capitalisme, même pas le degré zéro, mais le néant absolu.
Ce 29 août 2007, on reparle de fusion, mais pour voir l’inintérêt total et absolu de l’opération au niveau de leur métier de base, l’énergie, il suffit de voir leurs arguments sur ce sujet : aucun.
Seul un genre « dépit amoureux » de Suez, « puisque c’est comme ça, je te trompe », j’irais voir ailleurs.
Premier groupe en Europe ? On ne parle même plus d’un intérêt industriel, énergétique, ou autre. Le tout c’est d’être premier. Sans fin, ni but.
Il était déjà d’une évidence criante que leur mariage n’avait strictement aucune finalité, sinon boursier, manipulation d’argent, et autre.
Mais l’intérêt, en matière de synergie entre les deux entreprises ressemblait à un mariage de la carpe et du lapin.
Ils viennent de le confirmer…Alors ? Une simple addition de deux chiffres d’affaires…

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