Nicolas Sarkozy a rencontré Angela Merkel.
Il a demandé à l’ Allemagne de rejoindre la France dans son choix nucléaire. On voit ici une photo de la rencontre des deux dirigeants.
« On ne peut rester en Europe face à une situation où, dans un siècle il n’y aura plus de gaz, où dans 30 ou 40 ans, il n’y aura plus de pétrole. »
Le seul problème, c’est que pour le nucléaire, c’est exactement la même problématique.
« Le nucléaire, c’est l’énergie du futur« .
Nicolas Sarkozy parle aussi par antiphrase… Le nucléaire, fait largement partie du passé.
Les perspectives de production d’uranium sont réduites, et en tout cas insuffisantes.
L’ Allemagne vend plus d’électricité à la France qu’elle n’en achéte.
« il n’y a personne qui peut imaginer que les éoliennes serviront à faire tourner toute l’Europe », là, le président se montre pitoyable et caricatural. On peut d’ailleurs se demander, si il connait le contexte allemand, et s’il le connait douter de ses facultés.
Le président souffre d’une déconnexion des réalités. Ignore la réalité pitoyable des mines d’uranium, les problèmes géopolitiques, des réalités politiques pour une hypertrophie de l’ego : il est sûr d’avoir raison et traite de déviants les récalcitrants.

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