Rotterdam climate initiative étudie la possibilité de fabriquer du carburant avec des algues.
40 000 litres de biocarburants pouvant être produits chaque année par un hectare exploité.
99 % de la masse peut être utilisé, autant dire, la totalité, et ses besoins sont frugaux : eau, oligoéléments, CO2 (ça, ça tombe bien).
Les cultures auraient lieu dans des étangs ouverts. Les cultures en Batch nécessitant trop de verre.
L’avantage de ces « cultures » est qu’elles peuvent se prévoir près des villes. Mais l’investissement nécessaire ne rentre encore dans aucun cadre législatif comme la pac, et ils sont tellement importants et tellement à perte de vue, qu’il faut se rendre à l’évidence : ils sont de l’ordre des états.
Pour atteindre un montant conséquent et vraisemblable pour l’économie, c’est un investissement de l’ordre de l’investissement nucléaire.
On comprend qu’aucune firme ne se lancera sans « maman » derrière…

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