Grenelle de l’environnement III. La ville.

Images_2Ayant eu la sagacité et la sagesse d’acquérir la collection Gaston à prix modique (dépense que je ne regrette pas), ce n’est pas devant elle que je me suis endormi, mais à la partie ville du grenelle de l’environnement.
, il faut le reconnaitre, ils ont fait fort dans la nullité complète, le commissionnement, la réunionite et la vitrine.
Là aussi, une culpabilisation des citoyens, sans remise en question du mode de développement. Que le quidam roule en vélo, cela aidera. pendant ce temps, la sauce tomate qu’il achètera dans son épicerie de quartier aura fait assez de kilomètres pour faire le tour de la terre…
Aussi, verrons nous les opérations théâtrales, certes d’une certaine utilité pour  ceux qui l’utiliseront, comme le vélo urbain, mais d’un effet global marginal, des lieux communs (lutter contre l’étalement urbain), sans penser que l’étalement urbain a été une conséquence de l’organisation et de l’orientation économique.

Les personnes ayant vécu la période Giscard se souviendront qu’il fallait que tout le monde ait une voiture, croissance économique oblige.
Lutter pour les territoires, c’est lutter pour un mode de vie. Pas l’habiller d’un cosmétique politiquement correct.
Il ne faut pas oublier, qu’à l’époque (1974-1981) on a mis en place une organisation du territoire, et que là, on ne voit rien pour revenir dessus. Rien et même pire, aucun constat, aucune idée.

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