Les bruits courent d’une guerre des Zétazunis contre l’Iran. Le président des Zétazunis est un homme foncièrement joueur. Après avoir perdu la guerre en Irak, et une autre en Afghanistan, il veut faire cadet roussel.
Le prétexte en est la volonté iranienne d’accéder à la bombe. Mais sur ce plan là, les iraniens sont visiblement trop en deçà des espérances du président des zétazunis.
Alors, on cherche un autre prétexte, le soutien apporté aux insurgés chiites.
Bien sûr, ce genre de thématique ne peut s’adresser qu’à la partie naïve et décervelée de l’électorat qui, quoiqu’il arrive, votera toujours républicain.
Le président des Zétazunis, et son vice (président), un va t’en guerre du meilleur tonneau, sont pris par le calendrier. Il leur faut absolument perdre une guerre avant la fin de la présidence, soit 14 mois. Après, ce sera trop tard.
Bien entendu, je ne vous dira pas le motif de la guerre. Il n’y en a plus. Il y a quelques années, on aurait pu dire « le pétrole » et puis après « le gaz ». Mais arrivé à ce point de décomposition avancé du pouvoir politique aux zétazunis, il n’y a qu’une seule explication : un toc.

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