Al gore et le Giec viennent d’être récompensé du prix nobel de la paix.
Bien entendu, leur action n’a rien avoir avec la guerre, sinon par association d’idées très lointaine, mais elle montre l’auto-satisfaction, l’auto-congratulation, l’auto-récompense de la classe dirigeante, très politiquement correcte.
On récompense Al Gore de quoi (avec un coquet chèque de 1.08 millions d’euros à partager en deux) exactement ?
On le récompense d’être riche. Il faut en effet, désormais être riche pour aspirer à la maison blanche (ploutocratie), d’avoir pu faire un film, et d’être, dans sa consommation électrique personnelle, un goinfre.
« Le pasteur conchié et les brebis propre », disait on à une époque. Al gore reproche beaucoup finalement à l’humanité, lui qui a visité le monde, toujours roulé en voiture, et consomme comme 30 citoyens normaux d’un pays industriel, déjà fortement consommateur lui même.
Al Gore n’est ni plus ni moins en train de dire à la terre entière qu’il faudra se serrer la ceinture. Lui même excepté, bien sûr.

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