2005 : 84 631 milliers de barils/jours,
2006 : 84 603,
2007 : 84 335.
Voilà, c’est clair, c’est fait.
Le pic oil a eu lieu.
C’était en 2005.
A la date prévue par M. K. Hubbert.
Le pourcentage de baisse sur deux ans (0.35 %), n’est effectivement pas considérable. Mais il est indubitable.
Et la production n’a pas été contrariée par une baisse des prix…
Quand aux projections AIE (agence internationale de l’énergie) et EIA (energy information administration), a 130 millions de barils/ jour, il faut le voir comme elles sont : le délire de fumeur de moquettes.
Les conséquences ne se sont pas faites attendre.
La flambée des prix alimentaires en est une conséquences directe.
Trop de transports, dans tous les sens.
Trop de dépendances aux énergies fossiles.
La loi de l’offre et de la demande a joué son jeu, maintenant, aux états d’intervenir.
Sous peine de crises sociales et politiques très graves.

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