Entre les pays consommateurs, représenté par L’ AIE et les pays producteurs représentés par l’ OPEP, il y a divorce clair, net et absolu.
Tel une prière, les pays consommateurs prennent leurs désirs pour des réalités.
Mais les pays producteurs eux, savent leurs limites, pensent que la production est suffisante, et que de toute façon, elle ne pourra plus augmenter, et de toute façon, n’en ont guère l’envie.
La manipulation qui a conduit au renversement de Mossadegh en 1953 est dans tous les esprits des pays producteurs, y compris maintenant au Venezuela.
La position de l’ayatollah Komeiny s’est quasiment mondialisé.
« Le meilleur pétrole, c’est celui qui reste sous terre ! ».
Les pays pauvres sont entrées dans l’ ère de la pénurie, les pays riches se contentent de ne rien faire et laissent baisser leurs réserves.
Mais désormais, accaparer les richesses énergétiques des pays producteurs est beaucoup moins facile.
Il ne restera plus que la solution courageuse : réduire la consommation.

Laisser un commentaire