Primes à la cuve.

Cuve La prime à la cuve, doublée, va être financée (en partie), par un prélèvement exceptionnel sur les compagnies pétrolières.
En fait, ce qui est frappant, c’est la modestie de ce prélèvement (140 à 150 millions d’euros), face aux bénéfices des dites compagnies.
En réalité, c’est une politique de dames patronesses.
On file quelques sous, pour éviter de parler de ce qui fâche : l’ampleur des bénéfices, pas réellement justifié, ni par des investissements, ni par quoique ce soit d’autre.

Le particulier devra quand à lui avoir une facture établie entre le 10 novembre 2007 et le 31 janvier 2008, pour bénéficier de la bonté publique. Il devra en outre, être non imposable.
Bien sûr, il faut être chauffé au fioul, mais les chauffages électriques et propanes, bien plus onéreux, ne sont pas concernés.
Cette aide fonctionne indépendamment du coût.
Finalement pour le propane, on a encore plus d’emm…iellements que pour le fioul, sans aucun de ses avantages.
Pourtant, les gaz en bouteilles sont aussi des produits du crackage du pétrole.
Va comprendre Charles.
Un seul point reste à éclaircir, les vignerons croiront ils que cette aide s’adresse à eux ?
A Clochemerle, le débat doit faire rage.

Commentaires

Une réponse à “Primes à la cuve.”

  1. Avatar de un_simple_individu
    un_simple_individu

    Par principe je juge toujours de primo visu qu’il doit y avoir une erreur, parfois une bétise qui a été faite.
    Et puis des fois c’est bien identifié comme une insulte à l’intelligence et au sens critique. Ca m’arrive souvent dans les mesures gouvernementales imprégnées du champ lexical de « l’aide ».

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