La ville d’amarillo produit 90 % de l’hélium du monde.
C’est un gaz aux vertus irremplaçables dans de nombreux domaines, et un gaz qui se fait rare.
Contenu dans les gisements de gaz, la réserve d’Amarillo n’aurait que 8 ans de capacités.
« L‘hélium est non renouvelable et irremplaçable. Ses propriétés sont uniques et contrairement aux hydrocarbures, il n’existe pas d’alternatives biosynthétiques. Tout le monde doit faire un effort pour mieux le recycler »
Pour l’heure, l’ Algérie et la Pologne en produisent un peu, mais là aussi, la solution serait la Russie qui possède de vastes champs gaziers.
Décidément, W Poutine a toutes les chances.
Bien sûr la disparition des ballons de baudruche ne serait pas une perte irremplaçable, mais la Nasa consomme beaucoup d’hélium, et
« L’utilisation de l’hélium par la science est très vaste, son utilisation est particulièrement importante en tant que liquide de refroidissement ».
Là aussi, les réserves se vident.

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