Refaire les routes à l’économie.

Images_2 Il est loin le temps où la route se contentait d’être un simple ajout de couches successives de bitume.
Vint ensuite l’époque où la route était reconstruite.
On enlevait une partie de la couche superficielle.
Maintenant, c’est la troisième époque, la route reconstruite, pratiquement sans ajouts.
30 % des matériaux sont recyclés actuellement, le chiffre atteindra 100 % sous peu.
Les anciens enrobés seront reconcassés et réutilisés, ce qui évitera des couts de transport important.
Fabrication à froid des enrobés, ou à température plus basse, gagnerait aussi en énergie.

Mais, là aussi, on pense « renouvelable », et les substituts aux produits pétroliers sont déjà utilisés.
Mais, il ne faut pas sombrer, non plus, dans la paranoïa inverse, et condamner les routes parce que la circulation pollue.
On est très malheureux dans les endroits mal desservis.
La preuve en est l’exode de la population.
La route objet de développement ne doit pas être stigmatisée, mais certainement utilisée mieux à propos.
Certaines « idées », soit disant neuves, sont des idées médiévales de taxes et d’octrois.

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