L’Opep se réunira le 1°février pour se résoudre -ou non- à une augmentation de production.
Mais le résultat est cousu de fil blanc.
Il n’y aura pas d’augmentation, sinon de prix.
En effet « les professionnels estimant que la vigueur de la demande dans les pays émergents devrait compenser tout ralentissement aux États-Unis. »
Si le mythe des pays émergeant succédant aux USA, comme moteur de croissance est tenace, la situation est que le pétrole d’est pas plus élevé que parce que certaines régions du globe souffrent de pénurie.
Même une crise internationale risquerait dans le cas du pétrole de buter contre une incompressibilité de la demande.
En effet, la situation est fort tendue en Chine, avec des émeutes dues aux carburants (ou plutôt à leur absence), l’ Afrique est, dans bien des endroits, en situation de post-pétrole (bien que le prix y soit affreusement cher).
D’autre part, l’autre donne de l’équation est que l’Opep désormais est incapable de produire plus, sauf quelques pays comme l’ Angola, qu’elle souffre aussi d’un trop plein de devises dont elle ne sait que faire…
Ah, les problèmes des riches…

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