… qui ne gênent guère Attali.
Elles sont nombreuses, et s’il tape sans retenue sur les petits, les nouveaux « fermiers généraux » ont miraculeusement échappé à sa vindicte et à sa fougue, pour lui « Les Français doivent passer d’une culture de la rente à une culture du risque « .
Citons les , ces « grands risqueurs » :
– les fermiers proprement dit du système, à qui on a justement affermé, autoroutes, eaux, bientôt, les autres fluides, électricité et gaz, et qui en tire des juteux bénéfices,
– les anciens élèves des grandes écoles, il faut signaler que le trader de la société général, Jérôme Kerviel, paie aussi le fait d’être sorti des universités, les autres places intéressantes étant trustés par ces « risqueurs », qui ne risquent rien du tout…
Lui était le mouton noir, le « mal diplômé »
En réalité, pour faire ce genre de métier, avoir fait maths-spé et maths-sup doit être analysé objectivement : c’est de la confiture au cochon.
Ces gens là, n’ont rien à faire dans ce contexte.
– l’oligopole de la téléphonie,
– l’oligopole de la distribution,
– l’oligopole du numérique…
Mais il faut bien préciser que M. Attali, n’avait aucune chance de travailler comme taxi, coiffeur, pharmacien, ou même comme notaire.
Une commune de 8 000 habitants vient d’être condamnée pour rupture de contrat.
Les contrats avec les grandes compagnies des eaux garantissent surtout et essentiellement leurs bénéfices. Mais monsieur Attali peut éventuellement y travailler.
Mais jamais, absolument jamais, il ne saura couper les cheveux (sauf en 4).
Bien sûr, je ne citerais même pas les compagnies pétrolières… Les prix de leurs produits étant, justes, transparents et honnêtes…

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