Le succès paradoxal.

Images_2 Renault a eu du succès, avec une voiture économique, la Dacia.
C’est un succès non désiré, non voulu, paradoxal, comme le succès de la 205 au début des années 1980.
Peugeot a lui, voulu monter en gamme, pour se faire du gras.
Seulement, il y a un hic, c’est le consommateur.
Il a préféré une voiture peu chère, et absolument sans prétention, un outil quoi.
Ce qui fait que cette voiture, ultra-économique, ultra-peu publicisée, ultra outil, n’a aucun besoin de béquille de quelque ordre que ce soit, et répond à un mot d’ordre libéral : « quand on a un bon produit, on le vend ».

367000 ventes en 2007. Faible coût ne veut pas dire faible marge. Il faudrait expliquer cela aux « grands constructeurs », acharnés à détruire la demande par des plans sociaux en tous genres…
On peut se poser la question pour la voiture à air comprimé. (Si elle arrive sur le marché).
Tata prévoit de faire… 1 % du marché…
Et, si, en supposant que ce modèle, ou que le modèle mixte fonctionne bien, n’y aurait il pas un risque que le succès soit plus important que prévu ? Après tout, pour une deuxième ou troisième voiture destinée à faire 10 Km/ jour et des trajets de 2 à 3 km, ce n’est pas forcément inintéressant.

Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *