Je laisse la parole à un internaute intervenant sur l’article « le rapport du GIEC ».
« il est bizarre que les pays pronant le role du C02 sur l’effet de serre soit des pays non ou peu producteurs d’énergies fossiles mais dans un même temps en sont de grands cosommateurs. De plus cette même hypothèse apparait au moment des crises pétrolières, à l’émergence identitaire et revendicative des pays producteurs d’énergies fossiles qui se trouvaient sous tutelle de pays développés.Ces mêmes pays qui ont développés l’énergie nucléaire qu’ils sont les seuls à pouvoir promulguer et vendre. En outre l’ensemble des travaux du GIEC, promu au rang de nouvelle bible par le monde entier, semble entaché d’obscurantisme quand à leur établissement et à leur promulgation. Surtout lorsqu’au sein même de cette organisation il existe des conflits quant au bien fondé des rapports et que des scientifiques la quitte en parlant de mesures et d’actions plus politiques que réellement scientifiques. Que dire des ong environnementales qui à court d’arguments au début des années 90 ont su trouver leur nouvelle croisade via cette hypothèse et dont les manières d’agir verse parfois dans le sectarisme ou le terrorisme. Bref je ne suis pas sponsorisé par des grandes entreprises pétrolières ou chimiques mais je me pose simplement des questions et demande l’ouverture d’un vrai débat sur le climat et non un amoncellement d’idées reçues et alarmistes. je m’inquiète de ce monde ou le simple fait d’apporter un avis contraire vous amène à subir une véritable chasse aux sorcières comme au bon vieux temps du stalinisme, de l’hitlérisme ou du macchartisme. «
En effet, prouver est mieux qu’excommunier, et le phénomène est parallèle au mouvement d’émancipation des pays producteurs, dont j’ai souvent parlé.
Alors qu’il y ait réchauffement, c’est indubitable, mais qu’elle est l’ampleur du phénomène, les arrières-pensées des hérauts du réchauffement climatique, des sacrifices à imposer aux populations ?
Devant ces questions, je n’ai aucune réponse. Il est facile de manipuler pour paniquer, c’est un classique, quand un Al Gore nous parle, est-ce un homme sincère, ou le fond de boutique d’un politicien ? Quand aux sacrifices, ils sont inconciliables avec l’économie de marché.
Voici mon constat personnel, et j’attends des réponses.
Bon, je vais relire Tartuffe…

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