Les crises politiques s’aggravent de manières concomitantes avec un certain nombre de puissances énergétiques.
Le conflit Russo/Ukrainien sur le gaz rebondit pour la énième fois. Les russes ayant le culot de vouloir se faire payer.
Quand à la Colombie, en guerre depuis 60 ans (1948), elle tente visiblement, à la manière nord-américaine d’étendre le conflit au Vénézuela et à l’Equateur, tous deux producteurs de pétrole.
Après tout, quand on n’arrive pas à finir une petite guerre, pourquoi ne pas l’étendre ?
Le conseil de sécurité vote des sanctions supplémentaires contre l’Iran.
La Bolivie a du mal à faire investir les compagnies étrangères sur son sol, et Argentine et Brésil sont gourmands en gaz.
On voit donc, que la multiplicité des crises politiques sous les projecteurs concernent des pays producteurs peu en odeur de sainteté en occident.
Les âmes simples diront que c’est parce que ce sont des dictatures.
C’est bien connu qu’en Occident, il n’y a jamais de manipulation de résultat de présidentielle, tellement puérile que personne n’y croit, et qu’on y observe toujours les résultats du suffrage populaire et qu’on n’y envahit jamais aucun pays étranger.
En outre, on pourra désormais y voter, grâce aux machines à voter sans même se déplacer et sans même y penser.
En outre, Deubeuliou a eu une violente diatribe contre les états de l’opep qui ne veulent pas augmenter leur production.
Dans ces conditions là, il ne sera pas étonnant d’assister à une baisse de la production bientôt…

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