Ancien et nouveau tsar.

Images La guerre froide est finie, mais une nouvelle l’a remplacée.
Car ce qui est critiquée en occident en ce qui concerne la Russie, c’est la politique d’indépendance russe.
En son temps, Poutine avait réuni les Oligarques au Kremlin, et leur avait dit qu’ils paieraient les impôts et qu’ils ne se préoccuperaient plus de politique.
Il y eut ceux qui comprirent, et les autres.
Les autres sont en taule, en exil et/ou en Sibérie.
De tout temps, la Russie a été le royaume du désordre et de l’a-peu-près.
En moins correct, c’est le bordel. D’ailleurs, la Russie, cela a toujours été ça.

Cela a permis de croire qu’on pourrait en disposer facilement.
D’abord les Polonais.
Ensuite les Suédois (les Goths de Voltaire) qui inaugurèrent avec la terrible guerre du nord le conflit de destruction de l’état russe.
Puis les Français.
Puis les Allemands.
Vous savez à quoi on reconnait un grand con…quérant ? C’est qu’il essaie de s’emparer de la Russie.
Enfin les occidentaux qui voulurent faire main basse sur les ressources naturelles russes pour pas grand chose.
Les oligarques étaient du point de vue occidental, des hommes en or : tout leur argent, ils le rapatriaient en occident.
La deuxième partie de l’affrontement vient de commencer. Elle concerne « la terre des confins » (Ukraine en russe) et plus largement les terres extérieures.
De ce point de vue là, les occidentaux et les russes n’ont pas la même conception des frontières. Pour les russes, c’est quelque chose d’imprécis, où l’on peut reculer, mais qu’on abandonne jamais réellement.  Seule la frontière de la grande Russie  est  sacrée, mais il ne faut pas oublier qu’ils sont en mesure de batailler férocement pour les confins.
Surtout s’ils veulent s’allier à d’autres, ou si l’on veut y placer des radars.

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