Un article sorti dans enerzine, qui n’apporte pas grand chose de neuf, ni de révolutionnaire, mais permet une synthèse.
La consommation énergétique a baissé dans l’industrie, mais a progressé dans les transports, le retard dans l’application et le durcissement des normes en est responsable, plus que l’expansion du parc.
Et la consommation a surtout augmenté dans le résidentiel tertiaire.
« La hausse de la consommation d’énergie dans l’habitat est (…) liée à un phénomène de hausse des standards de confort individuels, qui induisent des comportements de consommation peu économes « .
On a, en effet, très peu canalisé les comportements. Et on les a même laissé filer.
Il faut rappeler, encore et toujours la responsabilité du politique, la décision de 1986 de J. Chirac d’abandonner la politique d’économie d’énergie.
On peut voir dans l’article des consommations variant de 1 à 4. Effectivement, ces consommations types sont critiquables.
Mais certains écarts sont justes : éclairage : de 500 à 170 KWH… Froid : de 1600 à 636…Lavage de 1735 à 343…
Cela correspond, grosso-modo à des ménages à la pointe, et à des ménages en retard, techniquement parlant.
Bien sûr, la conclusion est claire : « il apparaît indispensable d’instaurer des « mécanismes de canalisation des comportements » de consommation énergétique « .
On imagine sans peine la dégringolade de la consommation à laquelle on peut assister, SI ON S’EN DONNE LA PEINE…

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