Pour quelques barils de plus.

Images Les occidentaux devraient être content, la production de pétrole est largement déconcentrée.
Dans les années 1970, les grandes compagnies contrôlaient 75 des réserves et 80 % de la production. Aujourd’hui 6 et 24 % respectivement, le reste étant passé par des producteurs nationaux (et nationalisés).
Les compagnies classiques deviennent des techniciens, chargés de récurer les chiottes.
En effet, pour les compagnies nationales, le facile, pour les « experts », le reste.
Là aussi, la supériorité est reconnue ! Ils ne sont pas contents ?
Les pays producteurs ne veulent (ou ne peuvent) augmenter la production, a moins de « sécuriser la demande à horizon de 30 ans « .

Les investissements sont en effet, lourds, très lourds, et les pays de l’OPEP savent très bien que la désintoxication du pétrole est possible rapidement.
Quand à la part de la spéculation et de dépréciation du dollar dans la flambée actuelle du prix du pétrole, si elle difficile à connaitre, elle est colossale.

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