Finalement, j’avais pas imaginé le 21 siècle comme ça.
Des gens préoccupés par des problèmes basiques, comme l’eau et la nourriture.
Bien sûr, le problème n’a pas partout la même acuité.
Tant pis si certains ont fait le surinvestissement classique de la piscine.
On parvient tout à fait à vivre sans.
Mais pour les zones fragiles, c’est une autre histoire.
Dhaka a vu des manifestations pour l’eau. Il manque 1/3 de l’eau potable nécessaire à la population. Ce n’est pas rien.
Et le bangladesh a vu de violentes émeutes de la faim. C’est classique, le plus pauvre cumule les tares.
En Europe aussi, certains pays souffrent, comme l’Espagne, toujours à la limite de ce monde méditerranéen, et l’Espagne a le triste privilège de bénéficier de cultures maraîchères et de touristes.
Et le constat est clair, c’est chacun pour soi.
La aussi, la logique de développement est sur la sellette : » à cause d’une consommation en forte croissance « .
Bien entendu, on a eu droit aux guignoleries : interdiction de laver les voitures, d’arroser le jardin.
Mais les intérêts économiques se disputent le pactole.
En entendant, les navires citernes acheminent des convois d’eau, on va pomper l’Ebre dans le delta, et peut être, aussi le Rhône.
En toute logique, on devrait donc arriver au désastre complet.

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