Un nouvel éthanol qui a sans doute peu de chance de voir son essor, a vu le jour aux USA , à partir d’une
« cyanobactérie photosynthétique rencontrée communément sous l’appellation d’algue bleu-verte « .
le procédé, prometteur, permettrait de faire rouler le parc automobile avec 2 millions d’hectares inutilisés.
Mais, il y a peu de chance de voir ce procédé se généraliser.
En effet, la pression sur les producteurs de cannes à sucre au brésil, et sur les producteurs de maïs aux USA est énorme.
En réalité, ces bactéries n’ont aucune chance de percer : « Les cyanobactéries élimineraient ces procédés coûteux de transformation. »
Ou va t’on si n’importe qui peut produire de l’énergie sans problèmes et sans investissements couteux autant qu’inadéquat.
J’ai bien peur que les forces économiques mises en marche par les productions industrielles plus « classiques », comme pour l’éthanol-canne et l’éthanol-maïs, ne soit beaucoup plus fort que cette innovation.
En réalité, on s’aperçoit que la nature utilise DEJA certains procédés de fabrication.
Il suffit, par exemple, de se promener dans les bois pour sentir de fortes odeurs d’éthanol auprès des troncs tombés à terre et qui pourrissent.
Seuls d’autres pays que le Brésil ou les USA où les lobbys seraient moins forts ou inexistants pourront développer ces procédés.

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