Il y a une pensée qui se répand comme une trainée de poudre : il y a trop de monde sur terre.
Le gouvernement US, lui est prévoyant.
Il anticipe la pandémie. Enfin, il anticipe surtout sur qui il compte pour faire de la place.
– Les plus de 85 ans,
– souffrant de traumatismes graves,
– gravement brulés,
– déficients mentaux (dont alzheimer),
– malades chroniques (coeur, diabète, poumons).
Bien sûr, on compte surtout sur les pays étranger…
Tous ceux là, il ne faut pas le cacher, coutent très cher, n’ont aucune utilité économique et allègeraient bien des budgets retraites et maladies.
Les vieillards des maisons de retraites, les dépendants, plus de gaspillages !
Mais, ce phénomène, n’est pas réservé qu’au cas de pandémie, cas, encore hypothétique.
Imaginons, une crise économique, une crise énergétique, une crise alimentaire, une vraie crise quoi.
Le même schéma s’appliquera.
Adolf commença à se faire la main sur les malades mentaux (plan Aktion T4), mais il ne dépareillait pas trop son époque.
Le malade mental était honteux, relégué et sa survie était courte, quelques mois.
Bien des pays, pas seulement l’ Allemagne nazie eurent des comportements indignes.
Stérilisations, euthanasies. La France de 1940 à 1944 vida ses hôpitaux psychiatriques et remplit ses cimetières.
Avec les ressources qui se raréfie, on (re)découvre que l’homme est un loup pour l’homme.

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