Après avoir accordé royalement 0.8 % aux retraités, (largesses aux manants !) le gouvernement, acharné à perdre sa popularité, voir à programmer sa propre perte, continue sur sa lancée, avec parfois des retours et des reculades.
Le prix du gaz devait augmenter de 1.5 %, après 4 %, puis 5.5 %.
Le gouvernement se déculotte, devant l’impopularité de la mesure.
Puis on noie le poisson, en parlant de distribution.
Tel au 18° siècle, l’abime entre élites et peuples grandit.
Une constitution européenne vomie, mais dont on ne demandera l’avis aux peuples que contraints et forcés, un anglais imposé dans l’Union Européenne, voir au ministère des finances, en France, alors que les peuples vomissent aussi désormais aussi l’empire anglo-saxon et son militarisme.
On croit bâtir une prison.
On bâtit, patiemment, inéluctablement un processus révolutionnaire.
L’injustice réelle ou ressentie est partout.
La seule alternative restante, pour les peuples sera de renverser la table.
L’énergie avait, dans un premier temps pris le rôle du pain en 1788, puis le pain retrouve, lui aussi, son rôle central.
La nourriture, c’est de l’énergie.
Les troubles se multiplient dans le monde sous forme d’émeutes contre la faim, de grêves, avec partout des élites déphasées, incultes et inconscientes.
On dit que c’est un volcan indonésien qui finit de déclencher la révolution française. Ses projections dans l’atmosphère firent que les récoltes de l’hémisphère nord furent mauvaises.
Mais ce ne fut que le coup de grâce à un régime dont « sans bruits, jours après jours, les gens s’étaient détournés ».
Un évènement quelconque peut déclencher ces troubles. Le cyclone sur la Birmanie, par exemple est significatif. Il n’y a plus de réserves, deux gros producteurs au moins sont touchés

Laisser un commentaire