L’habitude.

Images_2 Les beaux esprits critiques l’éolien. Et trouvent génial un moulin.
Ceux-ci étaient fort nombreux au 18° siècle. Le premier janvier 1800, il existait  500 000 moulins en France.
Ils étaient la principale source d’énergie, qu’ils fussent à voile, à vent ou autre. Et ils servaient à tout.
Simple question d’habitude, perdue depuis longtemps.
Selon le journal Québécois « le Devoir »,  » les citoyens qui vivent près des parcs éoliens ne condamnent pas les nouveaux moulins à vent qui sont apparus dans leur paysage « .

La satisfaction globale de la population locale est passée de 83 à 86 %. Avec des allez-retour dans les deux sens. 4 % sont passés de satisfait à mécontent, et 7 % ont fait l’inverse.
La sureprésentation médiatique (manipulation ?) des opposants est clairement établie.
Au XVIII° siècle, le même caractère aléatoire des moulins faisaient qu’ils étaient en surnombre, que l’image soit classique, comme celle du meunier, mais aussi les moulins industriels de tous usages, et de toute finalité.
La première région industrielle de France, la région stéphanoise souffrait du manque d’énergie… Hydrique. Bien que disposant de fer et de charbon, les martinets n’étaient manipulés que par les moulins.
Et le cours d’eau local était fort capricieux.

Commentaires

3 réponses à “L’habitude.”

  1. Avatar de Berthier
    Berthier

    Je serais curieux de savoir à combien, le rédacteur de ce blog estime le potentiel éolien national (terrestre et marin) en nombre d’aérogénérateurs et en TWh/an.

  2. Avatar de Francois
    Francois

    Demande précision question :
    Potentiel éolien BRUT, cad « implantables » en respectant les distances de sécurité ?
    Ou NET cad en tenant compte du taux de rejet des projets qui en France est particulièrement élevé, alors que la densité de population est une des plus faibles d’Europe ?
    Pour info, il y a un article pas mal dans le magazine capital du 01 mai sur le sujet, qui recense les projets du groupe EDF en la matière.

  3. Avatar de Berthier
    Berthier

    Il s’agit du potentiel éolien brut.
    On peut toujours discuter du rejet a posteriori.
    Il s’agit d’avoir une borne supérieure.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *