Il n’y a pas à dire, les dirigeants européens ont fait une campagne habile et déterminée pour que le « NON » l’emporte haut la main en Irlande.
Bien sûr, il ne faut pas oublier que le traité de Lisbonne est un copier-coller du TCE.
Que le TCE est issu du cerveau gravement malade d’un énarque déphasé depuis 1976.
Que les instances européennes servent de recyclage à des hommes politiques sur lesquels les peuples ont tirés la chasse.
Mais, à tout « saigneur », tout honneur, Barroso :
« En tonnant et en tonitruant contre les pêcheurs, les routiers, les paysans et ainsi de suite, tous ces gens qui se plaignent de la vie qui n’est pas simple grâce à notre système bien-aimé que verrouille la Commission, en les vouant aux gémonies et en réaffirmant la primauté des grands principes européens qui sont ceux du système « …
La crise énergétique est donc au coeur du rejet irlandais.
Toutes les catégories victimes de la hausse des prix énergétiques qui ont entrepris une lutte à mort contre le pouvoir Bruxellois.
Car, si, comme d’habitude, les pauvres auront droit à des « aides ciblées », tous les autres pourront crever la bouche ouverte, car le système le veut.
Le paysan, le routier, le pêcheur, mais aussi le simple salarié qui ne peut plus payer son essence pour aller travailler, qui est « trop riche » pour bénéficier d’une « aide à la cuve ».
La Russie de Elstine a connue un « quasi génocide » de sa population, le peuple ne répondant plus aux attentes de l’économie de marché.
L’Europe occidentale prend la même voie.

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