La dérive guerrière et impériale, le complexe militaro-industriel ne concerne pas que les USA.
Elle concerne aussi la France et elle a les mêmes traits, on réduit la taille de l’armée, pour pouvoir projeter à l’extérieur un corps réduit, mais fortement armé.
C’est une dérive impériale, visible dans le budget.
Il ne sera pas réduit, mais la taille de l’armée, si.
Cela consiste à créer un corps de projection, pouvant être utilisé à l’extérieur, comme à l’intérieur, pour briser toute résistance.
Elle a pour but de maintenir la dépendance impériale aux afflux extérieurs, notamment énergétiques.
Bien sûr, ce projet de Nabot-léon échouera.
D’abord parce que l’Otan, comme toute alliance trop vaste est un foutoir et une pétaudière, et, par machiavélisme involontaire, Nabot-léon, va finir de casser le jouet.
En effet, elle ne sera pas renforcé par la France, mais ce qui sera accru par sa présence, c’est le bordel ambiant de cette bureaucratie irresponsable.
Foch disait en 1918 qu’il n’avait plus la même considération pour Napoléon depuis qu’il avait vu ce qu’était une coalition.
Nabot-léon parle d’un fantasmatique terrorisme auquel plus personne ne croit.
La seule réalité est que les forces armées sont adaptées à leur nouvelle mission : défendre le système économique en place, l’empire, en même temps que les approvisionnements énergétiques.
le seul hic, c’est que ces « forces » sont ridicules et épuisées qu’elles ont perdues la face, opposées à des adversaires bien moins armés, mais déterminés, et que finalement 150 000 hommes (corps de bataille américain), 30 000 (corps de bataille britannique) et 30 000 (corps de bataille français), c’est suffisant pour briser une armée, mais pas une nation, si faible fut elle.

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