Un scénario catastrophe est évoqué.
Le dollar continue son effritement, et l’OPEP prévoit un baril compris dans une fouchette de 150 à 170 $.
Ceci, n’étant que la bas de la fourchette, c’est à dire, une devise américaine qui s’affaiblit, grâce à un Jean Claude Trichet en superforme pour renforcer une crise mondiale déjà bien mûr.
Bien sûr, le président de l’OPEP précise : « Si la crise arrive à arrêter la production de l’Iran, par exemple, on aurait vraiment une grave situation sur les bras car aucun autre pays dans le monde ne pourrait remplacer la production iranienne « .
Immédiatement, en prévoyance des temps futurs, je me mets au cyrillique et prends des cours de russe accélérés.
Dans ce cas là, impossible de dire à quel prix on arriverait .
On parle d’un baril à 300 et 400 $, c’est très peu probable, car la consommation s’effondrerait.
Mais, la plupart des pays n’y résisteraient pas et sans doute, le fatras qu’est l’Union européenne exploserait.
D’autres prévoient un scénario très noir, Celui d’une crise maximum et qui nous ramènerait à la période 1940-1945.
Le quotidien des peuples européens, fut, plus que la guerre, une crise énergétique et alimentaire monstrueuse.
Elle aurait les conséquences suivantes
– arrêt net de la totalité des pays, plus personne ne va travailler,
– collapsus des transports,
– arrêt de l’approvisionnement, y compris alimentaire, y compris médicaments,
– morts des plus faibles, enfants, personnes âgées,
En un mot, la civilisation disparait en quelques jours…
Ou seconde option, on revient à une économie administrée en quelques semaines.

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