Le nanard, pompeusement baptisé « EPR », prend l’eau en Finlande.
D’abord physiquement. Il paraitrait que, pour couler le béton, on n’ait pas tenu compte de l’hygrométrie ambiante.
Il parait qu’à Tchernobyl, ils étaient cuits au moment de l’accident.
Visiblement, en Finlande, l’ébriété imprègne aussi les intervenants.
Bien sûr, comme il fallait s’y attendre, le budget est explosé (merci le secteur privé), mais n’ayez aucune crainte, c’est le con-tribuable, qui paiera. (le français).
Le marché est à prix fixe et le client, bien sûr, va demander des compensations pour le retard.
Comme ça, pour fermer la centrale, ou ne jamais la mettre en route, ils auront moins de regret : ça ne leur aura pas coûté cher.
Bien sûr aussi, son petit frère français est dans le même état, mais, pour faire cadet roussel, on en veut deux.
Après deux foirages, 3, ça fait une collection.
Et puis comme ça, plus aucun doute, les « décideurs » veulent écarter définitivement tout soupçon d’intelligence pesant sur eux…
Le gouvernement n’a rien à refuser à un grand cimentier, possesseur de chaine télévisée.
Serait ce pour lui réserver les recettes publicitaires, d’ailleurs, que les chaines publiques y « renoncent ».
L’amateurisme étant partout, les agents de sécurité de Flamanville sont en CDD…
Image : suggestion d’un nouvel emblême pour la République Française…

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