Enfin, non, de l’uranium dans la nappe phréatique après l’incident de l’usine Socatri au Tricastin, et de l’uranium dans l’eau du robinet, à des doses, bien plus élevées qu’il n’aurait du.
Dans ce cas là, on peut supposer que cette fuite n’était pas la première, vu le temps qu’il faut pour voir une nappe être contaminée.
Amateurisme, je-m’en-foutisme, « économies », là où devrait régner une toute autre culture.
Mais, chut ! il ne faut pas réveiller le chef, qui ne va pas réveiller son chef, qui ne va pas…
Enfin laissons tout le monde dormir, on ne va pas faire un foin pour si peu…
« On ne peut exclure qu’il y ait eu des rejets antérieurs, à l’origine d’une pollution à l’uranium « .
Peut être était on coutumier du fait ?
Matériel vétuste, matériel en mauvais état, « dans une unité ayant vocation à être arrêtée… »
Là, on est rassuré…
Le problème, c’est qu’elle fuit depuis combien de temps, et combien de personnes ces fuites ont elles contaminées ?
Pas grave. Le taux de cancers montera un peu, les individus seront les victimes et la collectivité paiera la note.
Ni coupables, ni responsables, encore moins financièrement.
Lundi 14 juillet 2008

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