Le nouveau président des USA n’aura pas à gérer une nouvelle guerre en orient.
Le principe d’un retrait d’Irak est acquis, après ce sera une question de ne pas perdre la face et de délai.
La Turquie fait oeuvre de bon office entre Israël et Syrie et les USA parlent, de manière honteuse et par la porte de service, de rétablir des relations diplomatiques avec Téhéran.
Le principe de réalité a finalement prévalu.
Le président actuel, en voie d’évaporation et le vice-président, en voie d’effacement, ne comptent plus guère.
La diplomatie américaine a finalement perdue en Irak.
Elle voulait 50 bases pour l’éternité, elle aura 16 mois à deux ans pour vider les lieux.
Hamas et Tsahal arrivent à une trêve.
On voit donc une baisse de tension, dont aurait besoin tous les états et tous les peuples de la région.
D’ailleurs, l’annonce de retrait en Irak pourrait aussi faire baisser significativement la pression.
La plupart des combattants ne verraient aucune utilité à être dans les derniers tués.
Seul, resterait le « bruit de fond » des réels terroristes, dont on verrait le poids véritable et qui ne doit pas être très important.
Le responsable de cette détente, est une montée en puissance du moyen orient, couplé à une baisse de régime des USA et en même temps, à la prépondérance des problèmes économiques aux USA justement.
Le seul point de tension restant dans la région étant la Géorgie.
Lundi 21 juillet 2008.

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