Le RAND n’en veut plus.

Images Research AND Development, un institut issu de l’USAF (United states air force), vient de basculer aussi dans le camp des adversaires à la guerre contre l’Iran.
Les liens entre l’institut et L’USAF sont étroits et profonds.
Jamais, depuis sa création (1946), le Rand n’a fait de la peine à l’USAF.
Pour parler crument, le RAND n’est ni plus, ni moins qu’une officine.
Mais, cette prise de position a son importance.
En effet, marine et armée de terre US était contre une option militaire contre l’Iran, l’armée de terre parce qu’elle est épuisée et incapable de mener cette guerre, la marine a de sérieux doutes sur ses capacités, après avoir surpris par des sous-marins chinois et des bombardiers stratégiques russes, en même temps, le golfe persique, étroit et encombré était l’endroit idéal pour un massacre de navire.

l’option militaire aux USA s’effondre.
L’USAF est désormais sur la défensive, incriminée pour ses gabegies comptables, ses dépenses, car il faut bien le dire, la dérive des coûts en aéronautique est total.
Le complexe militaro-industriel aussi est sur la défensive.
Dans sa lutte pour préserver son pouvoir, l’élite a trouvé qui manger.
On a même pas eu besoin de ploumer, ou de tirer à la courte paille.
Il faut dire qu’avec un budget militaire de 1 000 milliards de $, il y a de quoi susciter quelques jalousies.
Pendant ce temps là,  Richard Perle est au kurdistan, soignant son goût du lucre.
C’était donc cela la « révolution conservatrice » ? 

Lundi 4 août 2008.

Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *