USA : clash anticipé en Russie.

Images_3 Pour des responsables russes haut placés, les USA sont menacés d’ «  une crise existentielle de grande envergure  « .
Ils ne pourront survivre qu’en « vivant avec les moyens dont ils disposent « .
En rajoutant : » les Etats-Unis ne sont pas disposés à dépenser ce qu’il faut pour résoudre le problème de sa propre dépendance énergétique. « 
Et la possibilité existe que la Russie n’ait plus du tout de relations avec eux : « Nous pouvons nous permettre de ne pas avoir de relations du tout avec ceux qui n’en veulent pas « .
On retrouve la géopolitique dans cette histoire là.

La Russie, comme à toutes les époques est le celle pays capable d’une quasi autarcie, donne qui valut la doctrine du « socialisme dans un seul pays ».
Aujourd’hui, d’ailleurs, les choses ont passablement changées.
Alors que structurellement, la Russie est excedentrice dans toutes les énergies, les USA sont dépendants de l’extérieur en tout. De la plus basique des matières premières, au plus sophistiqué des produits.
Et ce n’est que contraint et forcé par leur paupérisation que populations et un certain nombre d’industries ont compris qu’il fallait évoluer.
En ayant, bien sûr goûté et puisé les joies de la dépense énergétique « à fond la caisse ».
Mais, pour l’industrie automobile, il est bien tard.
Quand aux véhicules hybrides, ils ont une alternative, tout aussi économe et même beaucoup plus, cela s’appelle la petite voiture.

Mercredi 6 août 2008

Commentaires

Une réponse à “USA : clash anticipé en Russie.”

  1. Avatar de un_simple_individu
    un_simple_individu

    Je me permets une disgression géneraliste en lien avec votre post. C’est assez émouvant de voir en ce moment même la fin d’une époque. Le camp des « vainqueurs » (USA) s’affaler avec la même étrange facilité que son adversaire de 60 ans, l’URSS, ça fait quand même réfléchir sur le terme de superpuissance. On détaillera plus tard, mais je suis sure qu’il restera des similitudes dans leurs collapses partagés. C’est peut être treeeeees naïf de ma part, mais c’est un des rares points positifs que je crois émerger de tout ce bordel…la fin d’un modèle, le conflit permanent! Par contre le bilan global défit notre entendement, et il va falloir pas mal de géneration pour en faire le tour. Mais bon, c’est des moments d’histoire où pourra dire « on y était, et c’était un merdier XXL anxiogène et irrationel! ». Tiens ça me rappelle quelqu’un…c’est cohérent finalement.

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