Les abeilles disparaissaient, dans certains endroits, 40 % avaient déjà disparus, le chiffre de 30 % était couramment atteint.
L’interdiction de certains pesticides, notamment le gaucho et le régent semble avoir porté ses fruits, les ruches semblent populeuses et en bonne santé dans le sud ouest.
En tout cas, si la mortalité et le déclin semblent quand même multifactorielle, elle n’est donc pas irréversible.
Pour la simple survie de l’homme, c’est une question cruciale.
Einstein a dit que sans ces insectes pollinisateurs, nous n’aurions que quelques années -désagréables- à vivre.
En tout état de cause, 35 % de notre nourriture provient de productions dépendant des abeilles, une crise grave de subsistance serait donc à l’ordre du jour.
On voit donc le mal que peut occasionner un progrès dont le bien devient de plus en plus marginal, et les inconvénients de plus en plus profond.
A l’inverse, notre voisin allemand, connait une chute importante des colonies, sitôt passé le Rhin. Donc, il n’y a pas de doute possible, c’est bien de l’environnement juridique que sont victimes les abeilles.
La nouvelle bataille des apiculteurs a lieu contre le cruiser, dont l’Italie vient d’alerter de la toxicité pour les colonies d’abeilles.
Mardi 23 septembre 2008

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