Monsieur Renault « rassure », à l’époque ou dans d’autres secteurs on « sauve ». Vu le sort des « sauvés », il y a de quoi être inquiet.
En 2012, 400 000 voitures électriques. Une politique industrielle, du bla-bla.
En réalité, il y a fort à parier que le processus qui conduira à la nationalisation de Renault est enclenché.
PDG doré et députés sont dans le même état d’esprit que les banques il y a un an…
C’est une pathologie de négation de la vérité.
Combien de temps Renault résistera à la faillite, dans un marché en contraction, à l’américaine ?
Quand les cours de bourse de Arcelormittal s’effondre en une journée de 17.39 %, Renault de 8.11 %, on doit bien convenir que la crise a dépassé le secteur bancaire pour atteindre l’économie réelle.
L’automobile, mais aussi, la restauration, la consommation.
Un autre effet pervers pour l’industrie automobile est le changement d’attitude du citoyen vis-à-vis des trajets automobiles.
ils sont évités au maximum et la chute de la consommation visible entraine des conséquences invisibles sur les constructeurs : les si rentables pièces détachées se vendent moins bien.
En DEBUT de crise de l’économie réelle, Renault est donc à considérer comme MOURANT, comme ces banques arrogantes d’il y a 12 mois, rachetées pour des bouchées de pain.
les remises en question des dogmes économiques ne font que commencer.
Mercredi 8 octobre 2008

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