Les pays européens « unis » dans la construction européenne, sont surtout réunis dans un panier de crabes.
« L’europe » veut être moins dépendante du gaz russe.
Chouette. Il ne reste plus qu’à trouver un remplacement pour 30 % du gaz mondial.
On veut relancer le gazoduc Nabucco (par le sud), pour être indépendant des russes, mais ce gazoduc ne pourra fonctionner… sans gaz russe.
Berlusconi lui trouve que : « Je vais vous le dire franchement: nous estimons qu’il y a eu des provocations à l’encontre de la Russie » et ces provocations sont : « le projet de déploiement du bouclier antimissile en Pologne et en République tchèque, la reconnaissance unilatérale du Kosovo et l’accélération du processus d’adhésion de la Géorgie et de l’Ukraine à l’OTAN. «
Quand à Nicolas sarkozy, il se livre au meurtre du père (Deubeuliou), en l’attaquant vivement, notamment sur le dossier géorgien.
Quand au président Medvedev, il essaie pour l’instant de disloquer le front interne américain. Il propose « l’option zéro » pour le bouclier anti-missile (abandon du bouclier américain, contre non déploiement de missiles à Kaliningrad), manoeuvre qui consiste à enfoncer un coin, entre le nouveau président Obama et le complexe militaro-industriel américain, pour qui le bouclier, n’est que sujet d’encore plus de subventions…
Or, l’enveloppe du pentagone, dans un temps de difficultés budgétaires, ne pourra être éternellement sanctuarisé.
Mais, pour bien comprendre la réalité européenne, il faut savoir que certains partis et personnalités est-européennes ne sont, ni plus, ni moins que des représentants stipendiés du complexe militaro-industriel US…
Jeudi 13 novembre 2008
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